Sous ce titre, PJD comme on m’appelait dans la profession journalistique, égrène en deux volets, les principaux épisodes de son existence.

Epique ou paisible, simple ou pleine de rebondissements, chaque vie présente de l’intérêt. La vôtre également si vous voulez bien me confier vos souvenirs. Je n’ai aucune peine à les retrouver, ces souvenirs. Ils sont là, présents, dans ma tête.

Mes enfants et petits-enfants, mes amis et ceux qui me lisent sur ce blog jugeront sur pièce.

Je ne règle pas de comptes. Je raconte tout simplement ce qui m’est tombé dessus, ce qui m’a surpris, décontenancé, amusé ou peiné, sous forme de missives adressées à une amie pendant cinquante ans. Ce sont «  les Lettres à l’ancienne »

La première partie n’a pas besoin d’explication. «  Les vertes années » raconte les découvertes et les espérances d’un jeune homme, à la moitié du XX° siècle.

La seconde s’intitule «  Coucou, c’est Radar ». Je justifie ce titre curieux en préambule.  Toujours sous forme d’un courrier je donne à voir et à entendre les gens que j’ai rencontrés, les événements plus ou moins bizarres que j’ai vécus, les réflexions et les voyages émaillés de surprises et de découvertes.

Une existence, c’est vaste !

Ne vous perdez pas dans l’océan du récit de « la Vie qui va ».